FLYING GUILLOTINE Maître Fung-sheng, si vous recevez ce message cela voudra dire que nous sommes morts. Sur la petite tuile est découpée une image du boxeur à un bras. Maître, il est très dangereux et c’est un révolutionnaire Ming. Nous ne sommes pas parvenus à le tuer. Vu ses énormes capacités martiales, je crains qu’il nous tue. Si vous recevez ce message, je vous en prie, vengez vos deux disciples ! Chow-lung, Chow-fu, Vous serez vengés ! Vous avez sacrifié vos vies pour la grande dynastie Ching. Je jure de tuer ce boxeur à un bras et vous serez vengés !

X’PLOITATION Today, everybody tells us that we should talk about sex to our children but nobody tells us just how. I’m afraid when it comes to talking about sex with my children a few bad starts have scared me off completely. In this film we are going to discuss quite frankly the things that are normal and to be expected in the development of children in relation to sex. Some of you may become somewhat uncomfortable as parts of this film unfold. But I think that if you listen carefully, you will agree that the concepts will contribute to the rearing of a maturer person. Parents don’t talk really about sex they can’t they’ve been reared in such a way that it’s a bugaboo. They don’t have enough facts parents don’t know when or how to begin they keep delaying and delaying. The line of communication between parents and sex has been broken. Amy, don’t do that! Honey that’s nasty! Honey you know better than that! Shame that’s nasty! Oh honey you make me so ashamed of you! Having sex fucking me… making love to me.

ICEBAR Is it some kind of a machine? - What? - What you’re building. - You’ll see. - Come on is it a machine? - It’s a machine it’s a machine....didn’t she tell you they make you act funny? - What? - Drugs marijuana stuff like that! Didn’t she tell you they make you act funny? - Sure she did. - What did she tell you? - She said… This guy’s a pretty good ball player. He can catch, he can throw, he can hit, he can run. He can even do something silly just because it makes him feel funny. Lots of things make you feel funny ...drugs are like that. Habits are very easy to get started and very hard to stop Habits can cost you a lot of money, drugs are like that too. - Do you know you can smoke ’em? - Sure like a cigarette! - And you can take them like a pill too and you can sniff - You can what? - Sniff ‘em, smell them like a flower! - Come on! - It’s true...drugs are like that! - What if you had to? - Why would I have to? - Because. - Because what? - Well I mean… drugs are like that! Getting older is a lot like walking down a street you never walked down before. You never know what’s round at the next corner. Some of the things might be great. Some of the things might be terrible. Some of the things might look terrible and turn out to be great. Some of the things might look great and turn out to be terrible. Drugs are like that!

CLAUDE - La leçon d’aujourd’hui porte sur le processus de déshabillage du client. - John, Eric, déshabillez les filles. Jenny tu te rappelles ce que je vous ai appris hier ? - Oui, dès qu’on est avec le client, il faut le déshabiller tout en vérifiant s’il est apte à l’action. - S’il n’est pas prêt, il faut profiter du déshabillage pour augmenter son excitation à l’aide de diverses caresses. - Hum ! Pas mal… Bon Jenny tu te rappelles la dernière leçon ? - Où il faut parler ? - Oui, les hommes adorent qu’on leur parle. - Allons détendez-vous, vous pouvez tout me dire, vous pouvez tout faire. - C’est comme vous voulez. - Avez-vous des passions, des goûts bizarres ? - Stop ! Trop rapide ma petite, s’il veut des fantaisies, il faut qu’il te les demande. - Ne propose jamais plus qu’il ne faut, tu n’es pas une amoureuse charitable et soumise. - Tu exécutes la commande et tu veilles à rester maître de la situation - J’y vais ? - Oui, concentre-toi. - Voilà, allons, doucement, détendez-vous. - Ma main va toucher votre corps. - Ma main va toucher votre poitrine. - J’ai envie que vous me touchiez, partout. - Non, pas maintenant. - Je peux sentir votre cœur qui bat sous ma main. - J’ai envie de toucher vos jambes, votre ventre. - Je te regarde, je te vois. - Est-ce que tu as envie que je te touche, comme ça. - C’est bon, encore.

THE INTRUDER We’re looking for a four year old girl named Bunny Lake. I’m looking for my daughter Bunny. Bunny Lake, my little girl Bunny Lake. She was already five month old when we got her. What happened in that first five months was always a mystery to me I had picked up stories about her real mother And I had a million morphing images in my head. But I’d never really know how she was. She had carried my sister for nine months And for whatever reason had given her away. Sometimes I’d babysit for my little sister While she was sleeping upstairs I’d watch TV. We’re looking for a four year old girl named Bunny Lake. I’m looking for my daughter Bunny. Bunny Lake my little girl Bunny Lake. I was constantly taken over by paranoid visions And would imagine how I could save us both if an intruder broke in the house. Every creak would set me off on wild stories of an attacker entering And wandering around. I could see him looking at our photographs and sniffing a vow. I get a carving knife under my pillow. One time I heard a loud crashing sound And I stood frozen knife in hand for about an hour. I imagined the intruder in my sister’s bedroom And I had to make intricate plans of escape.

RIO - Entre là ! - Oh non ! - Entrave-le, et plus vite. Assieds-toi ! - Allez viens ça va, sors, sortez tous, toi aussi Clyde. - Ça y est cette fois petit, reconnais que tu l’as bien cherché. - Dan, t’as une minute ? - Bien sûr. - Ça te réjouirait si on me pendait. Hein ? - Non petit, ne t’en prends qu’à toi. Depuis dix ans tu as mérité vingt fois la potence, mais cette fois, je crois que tu n’y échapperas pas… - Il aurait fallu bifurquer à temps. - Ouais, comme toi, hein. - Hum, hum, comme moi. - Tu possèdes deux visages Dan, et je suis le seul à connaître le vrai. - Tu veux savoir où j’ai passé ces cinq années par ta faute ? Dans le plus terrible des endroits, au célèbre bagne de Sonora. - Alors qu’est-ce que tu dis de ça ? - Je dis que tu mens encore, qu’on ne peut croire à aucune de tes histoires. - Et d’après toi, je serai condamné, hein Dan ? - Aucun doute là-dessus et tout sera fait dans les règles, et je te conduirais à la potence avec joie. AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH AHOOOOOOOOOOOOOOOH (x7) - Rio, j’ai tenu à venir. - Je suis heureux que tu sois là, j’espérais un peu, je n’avais qu’une idée, te voir... te voir. - Peut-être que si tu m’avais écouté, l’autre jour, Rio tu aurais changé d’avis. - Louisa, je ne venais pas à Monterey pour Dan et je ne suis pour rien dans l’affaire de la banque. Je venais pour te chercher et t’emmener avec moi. Je voulais te demander d’être ma femme. - C’est vrai ? - Je n’ai plus le temps de mentir. - Écoute-moi alors… Il faut que je te dise quelque chose à présent. Je voulais te le cacher, mais je vais avoir un enfant de toi. - Pourquoi ne me l’as-tu pas dit plus tôt ? - Parce que j’avais très peur. Je craignais que ça te fâche. Mais tu verras ce sera un magnifique enfant puisqu’il sera né de notre amour, et vois-tu, mon plus grand bonheur serait que tu puisses en être fier. - Je t’aime Louisa. J’ai jamais eu l’occasion de te le dire. Je veux que tu saches également que demain je n’aurais de pensées que pour toi. - Oh non, tais-toi. - Oui Louisa, tu as raison. - Au procès, tu leur diras ce qu’il s’est passé. Ils pourront alors se rendre compte que tu es innocent, mais il faut avoir confiance. - Sûrement…